La chute successive des forts de Liège, le 17 août, de Namur, le 23 août comme celle de Maubeuge le 7 septembre puis d'Anvers enfin le 6 octobre, fut le résultat moins encore de la science militaire allemande que de la terrible puissance d'une artillerie de siège dont l'existence était restée inconnue de tous les états-majors.
L'image représente une coupole d'un des forts de Maubeuge, disloquée par un projectile de mortier de 420.
Source : Blaetter von Krieg, Berne